Dans mon cœur un arbre
Avec ces mots qu’ici, là je chaparde
Pourrais-je prétendre au titre de barde ?
Au cœur de mon cœur habite un arbre
Qui jamais ne m’a laissé de marbre
Devant les massacres du vivant
L’ineptie fatale de ces grands
Prétendant au titre de gouvernants
Moins affûtés qu’un perdu goéland
Nos mots ont un rôle à jouer
Poésie au rythme des marées
Attribue éveil en gaie conscience
Étalonne l’idée d’impertinence
Nécessité si l’on aspire à considérer
Belle planète bleue, tel un monde limité.
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