Articles

Image
  Avec un processus simple, générer de l’eau et de l’O2, L’arbre en l’homme se présente à nous plus complexe qu’escompté. Ça y monte, ça descend dans le blanc aubier entre Duramen au centre et le Cambium à la périphérie. Merveille d’architecture le bois a sa cohérence. L’aubier véhicule la sève brute montrant par capillarité l’évapotranspiration pour faire monter la sève vers la canopée. Jamais en ébénisterie on ne l’utilise, il attire les xylophages et est bien trop tendre.
Image
  Avec un processus simple, générer de l’eau et de l’O2, L’arbre en l’homme se présente à nous plus complexe qu’escompté. Ça y monte, ça descend dans le blanc aubier entre Duramen au centre et le Cambium à la périphérie. Merveille d’architecture le bois a sa cohérence. L’aubier véhicule la sève brute montrant par capillarité l’évapotranspiration pour faire monter la sève vers la canopée. Jamais en ébénisterie on ne l’utilise, il attire les xylophages et est bien trop tendre.
Image
  Glas hent 1 Vert chemin est certes jonché de ronces, Avec joie s'y perdre pendant qu'on s'enfonce. Boussole inutile ! Au flair faut-il avancer. Seule Intuition guide les pas de la randonnée. Unique point de départ, quelques barrières. Devant l'eau se faire têtard en marche arrière. Confiance en l'instinct, flair du chien plus qu'à la carte. Nulle nécessité ne prime, ce n'est pas bataille de Sparte. Butiner fleurs sauvages ou cueillir coquillages. Moissonner multiples fragrances est plus sage, Qu'enfumer ses poumons à chaque pause. Les arrêts dans la Nature pour reposer arthrose, Seront l'occasion de poser un cairn solitaire. Dont seuls profiteront farouches vers de terre. 1   Chemin vert en breton, chemin personnel à opposer au chemin blanc.
  Ce monde est fou Entendons les cris, les alarmes, bruits sourds, ils enflent Écoutons avec nos yeux ces orages, plus forts, ils ronflent Ressentons sur notre peau les colères de Terre-Mère Toujours plus fortes, l'eau qui monte, des îles on perd Les écosystèmes payent un lourd tribu pour notre inconscience Chaque minute, une espèce sur la planète pour plus d'essence Plus de combustion, plus de confort pour nous inconscients Avons nous de quoi être fiers pour l'avenir de nos enfants ?! Des arbres pluri-centenaires abattus pour faire des Auchan Des entités arborescentes, seules aptes à donner l'oxygène Brevetage des espèces puis combinatoire, remaniement des gènes La course est lancée, tout doit avoir nom, rentrer dans le rang Sous couvert d'un développement, contestable éthiquement parlant La planète est quadrillée, comptabilisée puis rationalisée De parts en parts, la stérilisation s'annonce génétiquement modifiée Le consommateur fera ou pas les choix, son pouv...
Image
  L'arbre fait le sage Plonger aux racines acidulées, mycorhizes dépassés. Chercher le sens en Terre, caché : minéraux, eaux tirées. Sève monte inlassablement au cerveau, Feu amenant. Âme à son Karma, indolent élan tracte son contenant, Bouillir de vertu : hostiles démons déferler voudraient. Magies aux ingénus : Et si tous, des masses, se leurraient ? Réalité peut s'appréhender, lâcher prise par fort vent Souffle folie au loin, pour avancées d’autrement. Leurres, miroirs déformants, belles tourmalines Laissent liber, écorce sécher en haut des ravines. Pluie des mages, larmes d’un prophète, Enfermées en cage, libres de cette planète. Eau, Terre, Feu molletonnés en courants d'airs Amènent en quinte à rebâtir passerelles d'hier.
Image
  Du haut de ma dune Ils sont tous aliénés et froids Nourris par ce qui ne se mange pas Argent et pouvoir Je voudrais vous y voir Aujourd’hui et demain Isolés parmi contemporains Bienheureux les innocents Devant tous ces tourments Du haut de ma dune Je vois rarement la lune Je ne clame pas pour autant Qu’elle n’existe pas Ce qui me rythme c’est l’océan J’y retourne de ce pas.
Image
  Parole d'arbre En méandres, neurones, interrogeraient bosquets de mémoires. Arbre s'abreuve à profonde source tellurique. Branches suivent cours du père Soleil, viatique ? Racines entortillées scrutent vie, mycélium dans le noir ! Tronc, véhicule statique sous toutes apparences, Ondule sur échine de Vouivre proposant fusion. Humain enkysté en Orme se voudrait délivrance ! Tronc animé par barde vibre vertes sensations, Perception arborescente courtise minérale attitude. Pensée végétalisée accouche de bourgeons, finitude. Années concentriques forgées au feu du combat, Forment couches, strates d'un entendement sylvestre. Que génies, elfes ont nourri en déni du jeu de lois. Il eut fallu que ce fusse  énoncé en adret alpestre.